€20,66
Album au format CD.
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Description
Le premier album d’Iron-Skies, écrit et composé entre décembre 2019 et janvier 2021, propose douze titres ayant pour fil conducteur la désolation. À cette fin, les sons se font tribaux autant qu’électroniques, les rythmiques s’entrelacent, les harmonies se multiplient… une envie de mur du son, comme un écho à cette prestigieuse école, en format 2.0.
Inde, Arabie, USA, Europe de l’Est, Asie… les sons appuient un fait qui n’est plus à démontrer : la désolation est universelle.
Qu’il s’agisse de parler de toutes les barbaries avec l’image insupportable des marchés de Yulin ou de la dernière nuit de Thierry Le Luron (Suite 440-41-43), des massacres Tate / La Bianca en août 1969 par Charles Manson et sa famille (Vincent B.)… Ou encore de l’éternel amour que chacun a pu voir finir de différentes façons : en douce (7ème ciel), en ricanement (Aujourd’hui, je fais la fille) ou sans ménagements (Extrême Sibérie). La désolation peut également trouver sa source dans une douloureuse lucidité, ou comment évoquer le livre de Christina Crawford, « Maman très chère » (Mater Doloresa). La désolation enfin lorsque la désespérance se fait tranquille et que l’on choisit de tout quitter (Adeus).
La vue d’ensemble se résume à cet extrait de la chanson Hiroshima, dont le seul titre est déjà un aveu en soi :
” J’ai laissé mon cœur et mon âme sans mots dire embrassé la lame… Je suis devenu Mishima, la meuble terre d’Hiroshima”
“Hiroshima” Iron Skies.
Exactement au milieu, deux titres faisant office de charnières : Le revenant et Iron-Skies.
Histoire de faire les présentations. On peut être sincèrement désolé et rester poli.
Informations complémentaires
Poids | 0,98 g |
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Dimensions | 14,3 × 12,5 × 1 cm |